Accueil > Financement et politiques publiques > Politique de santé > Comment les laboratoires pharmaceutiques s’appuient sur la vidéo et les influenceurs en ligneComment les laboratoires pharmaceutiques s’appuient sur la vidéo et les influenceurs en ligneLa publicité pour les médicaments et le secteur de la santé en général étant très encadrée en France, la communication des laboratoires pharmaceutiques obéit à un cadre stricte. Quelles sont les tactiques émergentes et les bonnes pratiques de la vidéo et de l’influence ? mind Health a interrogé les organismes régulateurs de la publicité que sont l'ANSM et l'ARPP, l'institut d'études Kantar Media et les divisions françaises des groupes pharmaceutiques Novartis, Roche et Servier. Par . Publié le 02 novembre 2018 à 14h27 - Mis à jour le 02 novembre 2018 à 14h27 Ressources Si les laboratoires pharmaceutiques ont la possibilité de communiquer via le digital, cela s’accompagne d’une responsabilité très forte vis-à-vis des consommateurs. La publicité en ligne des médicaments OTC (vendus sans ordonnance) nécessite ainsi avant toute diffusion un visa GP de l’ANSM (agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé) tandis que la communication sur les médicaments soumis à prescrition est interdite auprès du grand public mais autorisée, sous condition, auprès des professionnels de santé. “Il n’y a pas de raison de limiter la communication digitale des laboratoires scientifiques. Avant de nous prononcer sur le digital, nous avons toujours besoin, en plus de la création publicitaire, des détails du contexte. L’ANSM doit s’adapter aux nouveaux supports, comme par exemple les stories sur Instagram. Mais nous sommes avant tout pilotés par le respect du code de la santé publique : le caractère publicitaire doit être évident et le médicament bien identifié”, rappelle Arnaud de Verdelhan, référent publicité au sein de la direction de la surveillance de l’ANSM. Par contre au-delà de l’OTC, rien n’empêche les laboratoires pharmaceutiques de mener des campagnes digitales sur la pathologie auprès du grand public, en utilisant d’autres outils plus tactiques comme les sites web propriétaires, les webséries et les réseaux sociaux, voire même des campagnes d’influence (sans passer par l’ANSM).Autre organe de référence pour le contenu publicitaire du secteur de la santé,… Cet article est reservé aux abonnés Déja abonné ? Connectez-vous Vous n’êtes pas encore inscrit ?Créez un compte pour tester notre offre gratuitement pendant 15 joursServices en ligne : études, analyses, bases de données et bien plus encoreBriefings quotidiens : actualités synthétiséesLettres hebdomadaires Nom Prénom Email AdministrationLaboratoiresRèglementaireBesoin d’informations complémentaires ?Contactez le service d’études à la demande de mind Nom Prénom Nom Entreprise*Téléphone mobileE-mail* Demande* essentielsSynthèse et historique de tous les contenus sur une thématique suivie en détails par la rédactionLes dernières publications Le nouvel enjeu des données de vie réelleLe cloud souverainLes stratégies multicanales pour la promotionLes essais cliniques décentralisésanalysesSynthèse et historique de tous les contenus sur une thématique suivie en détails par la rédactionLes dernières publications SantExpo 2023 : la conciliation médicamenteuse en guest starPrévana, détecter les risques psychosociaux à l'hôpitalGuillaume Mercy (Fonds FHF) : “L'innovation peut se trouver dans tous les services d'un hôpital”Eisox, la technologie au service de la gestion énergétique des bâtimentsdataLes dernières publications L’index des bilans économiques du LeemLa liste des services référencés sur Mon espace santéLa liste des logiciels référencés dans le cadre du Ségur du numériqueLes principaux acteurs français des DTx